النصير
كلمة (النصير) في اللغة (فعيل) بمعنى (فاعل) أي الناصر، ومعناه العون...
(2) État qui provoque une augmentation de la pression sanguine, une accélération du pouls qui va générer l’agressivité, la vengeance.
La colère est une émotion qui provoque une augmentation de la pression sanguine, une accélération du pouls qui va générer des pulsions d’agressivité, de vengeance en vue de soulager ce sentiment. Cette émotion violente déclenche des bouleversements physiques : les poils se hérissent, le visage devient rouge, des pleurs et des cris peuvent se déclencher involontairement, etc. Les réactions seront plus ou moins néfastes en fonction du degré d’emportement. La colère, en effet, est sujette à certaines prémices lors desquelles le niveau de conscience, et de contrôle de soi reste élevé. L’étape suivante, elle envahit tous les sens de l’individu qui commence à perdre le contrôle de ses réactions. Arrivé à la dernière étape, l’individu est dans un état second et perd momentanément la raison, comme s’il était atteint de folie. La colère n’est pas toujours blâmable ; l’élan de zèle pour tout ce qui touche à la religion est une vertu (comme lorsqu'on observe une personne entrain de commettre un acte de désobéissance ou que les limites d'Allah sont outrepassées) contrairement à celui qui s’énerve pour ses intérêts personnels ou mondains. Cette humeur excessive est déclenchée pour diverses raisons : dispute, plaisanterie, vengeance, jalousie, etc. Néanmoins, il existe plusieurs remèdes pour la soulager : la recherche de protection auprès d'Allah, le silence, multiplier l’évocation d’Allah (dhikr), faire les petites ablutions, voire un bain, changer de position (s’asseoir si on était debout, et s’allonger si on était assis).
Ghaḍab (ant. riḍâ : contentement, satisfaction) : colère, emportement, irritation. – Étym. Force, dureté ; Ghaḍba : rocher extrêmement dur. Chez l’être humain, la colère est un état qui provoque une augmentation de la pression sanguine, et une accélération du pouls.
رمضانُ شهرُ الانتصاراتِ الإسلاميةِ العظيمةِ، والفتوحاتِ الخالدةِ في قديمِ التاريخِ وحديثِهِ.
ومنْ أعظمِ تلكَ الفتوحاتِ: فتحُ مكةَ، وكان في العشرينَ من شهرِ رمضانَ في العامِ الثامنِ منَ الهجرةِ المُشَرّفةِ.
فِي هذهِ الغزوةِ دخلَ رسولُ اللهِ صلّى اللهُ عليهِ وسلمَ مكةَ في جيشٍ قِوامُه عشرةُ آلافِ مقاتلٍ، على إثْرِ نقضِ قريشٍ للعهدِ الذي أُبرمَ بينها وبينَهُ في صُلحِ الحُدَيْبِيَةِ، وبعدَ دخولِهِ مكةَ أخذَ صلىَ اللهُ عليهِ وسلمَ يطوفُ بالكعبةِ المُشرفةِ، ويَطعنُ الأصنامَ التي كانتْ حولَها بقَوسٍ في يدِهِ، وهوَ يُرددُ: «جَاءَ الْحَقُّ وَزَهَقَ الْبَاطِلُ إِنَّ الْبَاطِلَ كَانَ زَهُوقًا» (81)الإسراء، وأمرَ بتلكَ الأصنامِ فكُسِرَتْ، ولما رأى الرسولُ صناديدَ قريشٍ وقدْ طأطأوا رؤوسَهمْ ذُلاً وانكساراً سألهُم " ما تظنونَ أني فاعلٌ بكُم؟" قالوا: "خيراً، أخٌ كريمٌ وابنُ أخٍ كريمٍ"، فأعلنَ جوهرَ الرسالةِ المحمديةِ، رسالةِ الرأفةِ والرحمةِ، والعفوِ عندَ المَقدُرَةِ، بقولِه:" اليومَ أقولُ لكمْ ما قالَ أخِي يوسفُ من قبلُ: "لا تثريبَ عليكمْ اليومَ يغفرُ اللهُ لكمْ، وهو أرحمُ الراحمينْ، اذهبوا فأنتمُ الطُلَقَاءُ".