القدوس
كلمة (قُدُّوس) في اللغة صيغة مبالغة من القداسة، ومعناها في...
La croyance est : la parole prononcée avec la langue, la croyance du cœur et les actes des membres.
Croyance : reconnaître et admettre avec certitude tout ce qu'Allah et Son messager -paix et salut sur lui- ont donné comme informations et qui impliquent l'acte des cœurs puis celle des membres. Dit autrement : il s'agit de la parole prononcée avec la langue, la croyance du cœur et les actes des membres. La parole dont il est question englobe : la parole du cœur, c'est-à-dire la croyance véritable absolue tiré du Livre d'Allah, le Très Haut, et la tradition prophétique de Son messager -paix et salut sur lui-. La parole prononcée avec la langue : est le fait de dire les deux témoignages. En effet, la « parole dans les textes religieux --si elle n'est pas spécifiée- englobe la parole du cœur qui n'est autre que la croyance et la parole de la langue qui est la « prononciation . Les actes sont à la fois : les actes du cœur, de sorte que l'individu accomplisse des adorations du cœur tel que la pudeur, la confiance en Allah, l'espoir en Allah, la peur d'Allah, le repentir, etc. les actes de la langue sont les louanges, la lecture du Coran, l'ordonnance du bien et l'interdiction du mal, la takbîr -dire Allah est le plus Grand-, etc. les actes des membres sont tous les actes accomplis par l'esclave tel que la prière, le jeûne, le pèlerinage, la guerre sainte, et toutes les autres adorations.
La croyance est la forme nominale de « croire . Elle signifie : reconnaître et accepter une chose après en avoir eu la certitude. Son opposé est la mécréance. On dit : « il y a cru fermement , c'est-à-dire qu'il en a la certitude. Il revêt également en Arabe les sens de : donner la sécurité, la paix et la sérénité. C'est le contraire de la peur.
رمضانُ شهرُ الانتصاراتِ الإسلاميةِ العظيمةِ، والفتوحاتِ الخالدةِ في قديمِ التاريخِ وحديثِهِ.
ومنْ أعظمِ تلكَ الفتوحاتِ: فتحُ مكةَ، وكان في العشرينَ من شهرِ رمضانَ في العامِ الثامنِ منَ الهجرةِ المُشَرّفةِ.
فِي هذهِ الغزوةِ دخلَ رسولُ اللهِ صلّى اللهُ عليهِ وسلمَ مكةَ في جيشٍ قِوامُه عشرةُ آلافِ مقاتلٍ، على إثْرِ نقضِ قريشٍ للعهدِ الذي أُبرمَ بينها وبينَهُ في صُلحِ الحُدَيْبِيَةِ، وبعدَ دخولِهِ مكةَ أخذَ صلىَ اللهُ عليهِ وسلمَ يطوفُ بالكعبةِ المُشرفةِ، ويَطعنُ الأصنامَ التي كانتْ حولَها بقَوسٍ في يدِهِ، وهوَ يُرددُ: «جَاءَ الْحَقُّ وَزَهَقَ الْبَاطِلُ إِنَّ الْبَاطِلَ كَانَ زَهُوقًا» (81)الإسراء، وأمرَ بتلكَ الأصنامِ فكُسِرَتْ، ولما رأى الرسولُ صناديدَ قريشٍ وقدْ طأطأوا رؤوسَهمْ ذُلاً وانكساراً سألهُم " ما تظنونَ أني فاعلٌ بكُم؟" قالوا: "خيراً، أخٌ كريمٌ وابنُ أخٍ كريمٍ"، فأعلنَ جوهرَ الرسالةِ المحمديةِ، رسالةِ الرأفةِ والرحمةِ، والعفوِ عندَ المَقدُرَةِ، بقولِه:" اليومَ أقولُ لكمْ ما قالَ أخِي يوسفُ من قبلُ: "لا تثريبَ عليكمْ اليومَ يغفرُ اللهُ لكمْ، وهو أرحمُ الراحمينْ، اذهبوا فأنتمُ الطُلَقَاءُ".